Blogue de la naturopathe

Recette : graines de citrouille rôties

Comment faire rôtir les graines de citrouille

Quoique vous puissiez vous procurer des graines de citrouille déjà rôties dans la plupart des supermarchés et magasins d’alimentation naturelle, vous pouvez préparer les vôtres en un tournemain à partir de graines provenant d’une citrouille fraîche… que vous aurez peut-être fait pousser vous-même!

Voici comment les préparer et les faire rôtir à la perfection :

Méthode en 5 étapes:

  1. Après avoir retiré à la cuillère toutes les graines à l’intérieur de votre citrouille, épongez-les avec un papier absorbant pour retirer toute la chair qui aurait pu y rester collée.
  2. Rincez les graines de citrouille dans un tamis, déposez-les sur un papier absorbant et laissez-les sécher toute une nuit.
  3. Une fois qu’elles sont sèches, étalez- les en une couche aussi mince que possible sur une plaque à pâtisserie enduite d’un peu d’huile d’olive. Remuez les graines de manière à les enrober légèrement d’huile.
  4. Faites rôtir légèrement les graines dans un four préchauffé à seulement 75 °C (165 °F) de 15 à 20 minutes. Il est important de ne pas faire rôtir les graines de citrouille plus de 20 minutes, après quoi elles perdront de leurs avantages nutritionnels en raison de la modification de leur structure lipidique.
  5. Laissez les graines de citrouille refroidir complètement et ajoutez un peu de sel de mer. Vous pouvez aussi les aromatiser avec de la poudre d’ail ou de céleri. S vous aimez le piquant, ajoutez un peu de cayenne en poudre.
  6. Et maintenant dégustez! Miam!

Sachez que vous pourrez facilement les conserver dans un pot de vitre si vous réussissez à ne pas passer au travers tout d’un coup 😉

Fait intéressant : les graines de citrouille contiennent beaucoup de ZINC : 2 c. à soupe = 15mg

Découvrez dans cet article 7 bonnes raisons d’incorporer les graines de citrouille à votre alimentation et 10 façons toutes simples d’y arriver!

Danielle Beauchamp, votre naturopathe de famille ?

Crème de champignon toute simple

Ingrédients :

  • 1 tasse (250 ml) de champignon blanc coupé
  • 3 cuillères à soupe de beurre
  • 1 échalotte française
  • 2 cuillères à soupe de farine de quinoa
  • 2 tasses et demie (625 ml) de bouillon de poulet
  • 1/2 tasse (125 ml) de crème
  • 1 cuillère à soupe de thym frais haché
  • 1/2 cuillère à thé de romarin frais
  • Sel et poivre

Préparation :

  1. Dans un grand chaudron, faites fondre le beurre à feu moyen. Puis, ajouter les échalotes et mélanger.
  2. Ajoutez les champignons, le thym, le romarin, le sel et le poivre et laissez cuire pendant 2  à 3 minutes.
  3. Saupoudré de farine et bien mélanger. Laissez épaissir un peu.
  4. Ajouter la crème et le bouillon. Bien mélanger.
  5. Porter à ébullition, et laissez mijoter jusqu’à épaississement (5 à 8 minutes).
  6. Servir chaud avec des croûtons à l’ail et au romarin frais.

Quel délice !

Laissez vos commentaires ci-dessous, comment l’avez-vous trouvé?

Portrait : champignonnière urbaine

Ce bel article du Nutrionniste urbain trace le portrait de la seule champignonnière à Montréal, Blanc de Gris, située dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve. Les deux champignonnistes Dominique Lynch-Gauthier et Lysiane Roy Maheu nous révèlent les dessous de la culture de la pleurote. Très intéressant, vous pouvez même les contacter, allez visiter et vous procurer vos champignons directement à leur ferme.

Et qui sait peut-être aurez vu envie de vous lancer aussi. 😉

« Je me suis rendu compte que c’était encore plus facile que les plantes potagères et que j’avais de meilleurs résultats. », raconte Dominique Lynch-Gauthier.

Par ici : http://bit.ly/2khZDEt

Et si je vous disais que les champignons pouvaient vous aider avec vos troubles digestifs et immunodéficience?

La santé repose en tout premier lieu sur une absorption optimale de bons nutriments suffisamment métabolisés grâce à une paroi digestive fonctionnelle. Des recherches effectués par des docteurs démontrent que la racine de champignon contribuerait grandement à soutenir les paramètres de digestion, assimilation, détoxification, élimination.

Les bienfaits du champignon se font ressentir autant dans le domaine de la prévention, que dans celui de la prise en charge thérapeutique dans des domaines aussi variés que les troubles digestifs, la difficulté à concevoir, la dépression, l’hypertension artérielle, le diabète, la lutte contre l’inflammation, les maladies auto-immunes et le cancer, le syndrome de fatigue chronique, les troubles du sommeil…

Dans cet article, le Dr Donatini, qui a préfacé le livre « Les champignons comestibles, aliments d’avenir. Pour combattre les principales maladies d’aujourd’hui »2, nous présente quelques champignons et leurs actions bénéfiques. Par ici http://bit.ly/2khv01K

Ganoderma : un champignon aux 200 principes actifs!

Le ganoderma, aussi appelé reishi rouge, est un formidable protecteur du bon fonctionnement de l’organisme dans son ensemble. Il l’aide à se nettoyer en renforçant la vitalité de la personne.

Champignon médicinal et tonique anti-âge :

  • Maladies neuro dégénératives
  • Activité anti-tumoral
  • Immuno modulateur
  • Problème circulatoire
  • Manque d’énergie
  • Syndrome de fatigue chronique
  • Protège contre le stress oxydatif – vieillissement
  • Propriété anti-inflammatoire
  • Protecteur de l’ADN

Son action sur le foie et les poumons est importante : il est donc adapté aux personnes souffrant de maladies chroniques, aux convalescents et à toute personne manquant d’énergie vitale.

POURQUOI ?

Car il contient (des polysaccharides et des triterpènes) des antioxydants qui favorisent, entre autre, le développement de nouvelles cellules saines donc diminue le développement de certaines maladies. Les principes actifs contenus dans le ganoderma sont plutôt rares au sein du monde végétal, ce qui explique son action particulière sur l’organisme humain.

Pour aller plus loin, le reishi rouge relance la production hépatique de glutathion en plus de recycler constamment les co-facteurs essentiels pour assurer la vigilance et nous prémunir contre les dommages oxydatifs multiples. Le reishi soutien le bon fonctionnement du foie, il protège l’ADN de ses cellules contre les effets mutagènes des radiations et le nettoie des radicaux libres grâce à ses antioxydants.

Avec la consommation de reishi, on remarque une diminution marquée des transaminases ALT, AST, de la bilirubine totale, du foie gras et de la phosphatase alcaline. On le dit glycémiorégulateur par sa concentration du ganoderan-B. Les rages de sucre et les variations de la glycémie se feront progressivement moins importantes à force de consommer le reishi.

L’effet équilibrant du reishi et ses qualités tonique hépatique diminue conséquemment le taux de cholestérol, de triglycérides et de sucre dans le sang. Il joue un rôle inhibiteur moyen sur l’action de la HMG-CoA réductase. Cette action serait conséquente de sa teneur en acide ganodermique et en stérols. Les acides terpéniques du reishi agissent comme un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine-II (prudence en cas de médication antihypertensive).

En Chine et au Japon, le Ganoderma est réputé comme plante médicinale de premier ordre. C’est le TRÉSOR DE LA TERRE.

Pour aller plus loin : http://bit.ly/2klk4jE